J’ai construit mon live comme une déambulation au milieu d’un paysage que je traverse. Je ne joue pas une partition, j’ai un canevas, quelques réglages et laisse une grande part à l’improvisation afin d’être à l’écoute de ce qu’il se passe et de pouvoir suivre des chemins inédits, hors des sentiers battus. C’est pourquoi je ne m’inscris pas dans un genre musical en particulier. Je préfère ne rien m’interdire et rester ouvert à ce qu’il se présente, jouer des accidents de parcourt, alterner mouvement et contemplation, prendre le temps d’explorer de nouvelles pistes…